Son côté "je vous emmerde"

Alexandre Benalla lors de son audition au Sénat le 19 septembre 2018. © Thibault Camus/AP/SIPA
Par son caractère, sa faconde et ses choix, Alexandre Benalla reconnait avoir "inconsciemment remis des pièces dans la machine" et relancé plusieurs fois l'affaire qui le visait. Mais il se reprend tout de suite en précisant qu'il s'agissait de "voir le dysfonctionnement" de l'Etat. L'ego, encore et toujours : "Y a chez moi un côté "je vous emmerde", je reconquiers ma liberté en faisant ce que je veux et en voyant qui je veux dans les limites que je me suis fixées. Si ça ne vous plaît pas, c'est pareil !". Sur ses fréquentations qui font régulièrement jaser, il s'explique aussi : "Ça m'éclate, moi, de voir [Alexandre] Djouhri, [Vincent] Miclet, [Philippe] Hababou Solomon, d'aller en Afrique chez Idriss Déby", lance-t-il dans les pages du Point avec pas mal de provocation.
Par son caractère, sa faconde et ses choix, Alexandre Benalla reconnait avoir "inconsciemment remis des pièces dans la machine" et relancé plusieurs fois l'affaire qui le visait. Mais il se reprend tout de suite en précisant qu'il s'agissait de "voir le dysfonctionnement" de l'Etat. L'ego, encore et toujours : "Y a chez moi un côté "je vous emmerde", je reconquiers ma liberté en faisant ce que je veux et en voyant qui je veux dans les limites que je me suis fixées. Si ça ne vous plaît pas, c'est pareil !". Sur ses fréquentations qui font régulièrement jaser, il s'explique aussi : "Ça m'éclate, moi, de voir [Alexandre] Djouhri, [Vincent] Miclet, [Philippe] Hababou Solomon, d'aller en Afrique chez Idriss Déby", lance-t-il dans les pages du Point avec pas mal de provocation.
© Thibault Camus/AP/SIPA