L'affaire du bus de l'équipe de France

Le bus des Bleus défilant sur les Champs le 16 juillet 2018 avec Alexandre Benalla reconnaissable à l'avant. © Serge Arnal / SV PRESS/SIPA
Alexandre Benalla donne aussi sa version de l'affaire du bus de l'équipe de France championne du monde de football, qui a déçu bien des fans en défilant à toute vitesse sur les Champs Elysées le 16 juillet 2018. Il pointe un "chauffeur" qui aurait appuyé "un peu fort sur l'accélérateur". "A plusieurs reprises, je lui demande de ralentir. Il relâche un peu la pression, puis remet les gaz dès qu'il peut. Ce gars doit avoir rendez-vous chez le dentiste et il a peur d'être en retard", se justifie aujourd'hui Benalla, un temps soupçonné d'avoir lui-même accéléré le mouvement pour la réception à l'Elysée qui suivait. Il assure même que le bus devra patienter après cette descente éclair des Champs : "Nous sommes en avance sur l'horaire prévu et le président est toujours en rendez-vous. Enfin, après plus de dix minutes, je donne le top départ, direction l'Elysée".
Alexandre Benalla donne aussi sa version de l'affaire du bus de l'équipe de France championne du monde de football, qui a déçu bien des fans en défilant à toute vitesse sur les Champs Elysées le 16 juillet 2018. Il pointe un "chauffeur" qui aurait appuyé "un peu fort sur l'accélérateur". "A plusieurs reprises, je lui demande de ralentir. Il relâche un peu la pression, puis remet les gaz dès qu'il peut. Ce gars doit avoir rendez-vous chez le dentiste et il a peur d'être en retard", se justifie aujourd'hui Benalla, un temps soupçonné d'avoir lui-même accéléré le mouvement pour la réception à l'Elysée qui suivait. Il assure même que le bus devra patienter après cette descente éclair des Champs : "Nous sommes en avance sur l'horaire prévu et le président est toujours en rendez-vous. Enfin, après plus de dix minutes, je donne le top départ, direction l'Elysée".
© Serge Arnal / SV PRESS/SIPA