Les organes artificiels

Organes artificiels et xénogreffes pourraient mettre fin au besoin de trouver des donneurs © pixdesign123 - Fotolia
Si nos organes fatiguent, autant les remplacer. Les chercheurs travaillent actuellement sur la greffe de coeurs ou de pancréas artificiels. Fin 2013, le coeur d'un patient français a été remplacé par un organe en biomatériau, traité chimiquement pour être compatible avec le corps humain et reproduisant l'ensemble des fonction naturelles : battements, circulation du sang... Pour l'instant, ces tests demeurent limités : le patient est décédé quelques mois plus tard et l'appareil est extrêmement coûteux. Une autre piste est le clonage. L'utilisation d'organes d'animaux (la xénogreffe), notamment du porc, pourrait contourner le problème. Si les résultats sont pour l'instant limités (les organes ont été rejetés), les scientifiques continuent de travailler sur cette piste.
Si nos organes fatiguent, autant les remplacer. Les chercheurs travaillent actuellement sur la greffe de coeurs ou de pancréas artificiels. Fin 2013, le coeur d'un patient français a été remplacé par un organe en biomatériau, traité chimiquement pour être compatible avec le corps humain et reproduisant l'ensemble des fonction naturelles : battements, circulation du sang... Pour l'instant, ces tests demeurent limités : le patient est décédé quelques mois plus tard et l'appareil est extrêmement coûteux. Une autre piste est le clonage. L'utilisation d'organes d'animaux (la xénogreffe), notamment du porc, pourrait contourner le problème. Si les résultats sont pour l'instant limités (les organes ont été rejetés), les scientifiques continuent de travailler sur cette piste.
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