Ils existaient déjà chez nous

Déjà chez nous © laszlolorik - Fotolia
La fascination pour les morts-vivants existait avant les zombies dans la culture occidentale. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer les danses macabres dessinées sur les murs des églises au Moyen-Âge tardif. Ces sarabandes mélangeant morts et vivants sont caractéristiques d’une époque angoissante, marquée par la Peste et la Guerre de Cent-Ans. On retrouve d’autres cadavres animés dans les œuvres d’Albercht Dürer à la fin du XVe siècle. Les zombies modernes traduisent nos angoisses du moment : la propagation d’une épidémie, l’incapacité à résister à un ennemi aux comportements différents du nôtre...
La fascination pour les morts-vivants existait avant les zombies dans la culture occidentale. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer les danses macabres dessinées sur les murs des églises au Moyen-Âge tardif. Ces sarabandes mélangeant morts et vivants sont caractéristiques d’une époque angoissante, marquée par la Peste et la Guerre de Cent-Ans. On retrouve d’autres cadavres animés dans les œuvres d’Albercht Dürer à la fin du XVe siècle. Les zombies modernes traduisent nos angoisses du moment : la propagation d’une épidémie, l’incapacité à résister à un ennemi aux comportements différents du nôtre...
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