Les manœuvres de tir

En 1996 à Lille, un conscrit du 43e Régiment d'Infanterie s'entraîne au tir. ©  THOMAS COEX / AFP
Les conscrits du début des années 60 rentraient encore de la guerre d'Algérie. Il s'agira de l'ultime engagement d'appelés dans des conflits lointains et meurtriers. Pour autant, leurs petits frères auront eux aussi droit aux séances de tir et d'entraînement à la manoeuvre des armes. Un conscrit conserve le même fusil tout au long de son service. Après la perception de l'armement (aller chercher son fusil personnel à l'armurerie), les appelés rejoignent le pas de tir en camion pour s'y entraîner à tirer, à tour de rôle, sur un poste de tir. A balles réelles. Après l'instruction du lancer de grenade, le plus dur n'est peut-être pas encore fait : nettoyer son fusil – souvent pendant des heures - après l'avoir entièrement démonté puis le remonter.
 
Les conscrits du début des années 60 rentraient encore de la guerre d'Algérie. Il s'agira de l'ultime engagement d'appelés dans des conflits lointains et meurtriers. Pour autant, leurs petits frères auront eux aussi droit aux séances de tir et d'entraînement à la manoeuvre des armes. Un conscrit conserve le même fusil tout au long de son service. Après la perception de l'armement (aller chercher son fusil personnel à l'armurerie), les appelés rejoignent le pas de tir en camion pour s'y entraîner à tirer, à tour de rôle, sur un poste de tir. A balles réelles. Après l'instruction du lancer de grenade, le plus dur n'est peut-être pas encore fait : nettoyer son fusil – souvent pendant des heures - après l'avoir entièrement démonté puis le remonter.  
©  THOMAS COEX / AFP