Ebola, via les chauves-souris

Avant le stade de la transmission interhumaine, le virus Ebola passe d'animal à humain. © Kheng Ho Toh / 123RF
Responsable d'une épidémie particulièrement meurtrière en Afrique de l'Ouest, pas encore totalement éradiquée, la fièvre hémorragique Ebola a été détectée pour la première fois chez l'être humain en 1976, en Afrique. Le virus mutant touche en premier lieu les chauves-souris frugivores, "réservoirs" naturels de la maladie. Puis atteint l'homme à la suite d'un contact rapproché avec des fluides d'animaux infectés, qu'il s'agisse des fameuses chauves-souris, de primates, d'antilopes des bois ou de porcs-épics souvent "retrouvés malades ou morts dans la forêt tropicale" indique l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Responsable d'une épidémie particulièrement meurtrière en Afrique de l'Ouest, pas encore totalement éradiquée, la fièvre hémorragique Ebola a été détectée pour la première fois chez l'être humain en 1976, en Afrique. Le virus mutant touche en premier lieu les chauves-souris frugivores, "réservoirs" naturels de la maladie. Puis atteint l'homme à la suite d'un contact rapproché avec des fluides d'animaux infectés, qu'il s'agisse des fameuses chauves-souris, de primates, d'antilopes des bois ou de porcs-épics souvent "retrouvés malades ou morts dans la forêt tropicale" indique l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
© Kheng Ho Toh / 123RF