La lutte contre la radicalisation en prison

En 2016, la prison compte 1336 détenus radicalisés (ministère de la Justice) . © Sarah ALCALAY / SIPA
Mauvaise coordination, surveillants agressés… Après avoir été expérimentées en vain, les "unités dédiées" aux détenus les plus radicalisés vont disparaître. Des "quartiers d'évaluation de la radicalisation" s'y substitueront. 120 détenus sont concernés, sur quatre mois. En outre, un régime spécial de détention proche de l'isolement prendra en charge 300 détenus jugés plus dangereux. Quoi d'autre ? Le recrutement de 90 conseillers d'insertion et de probation ; la création d'une Sous-direction de la sécurité pénitentiaire en février 2017 et un renforcement du renseignement pénitentiaire avec  la création de 51  postes (pour 186  agents auparavant).
Mauvaise coordination, surveillants agressés… Après avoir été expérimentées en vain, les "unités dédiées" aux détenus les plus radicalisés vont disparaître. Des "quartiers d'évaluation de la radicalisation" s'y substitueront. 120 détenus sont concernés, sur quatre mois. En outre, un régime spécial de détention proche de l'isolement prendra en charge 300 détenus jugés plus dangereux. Quoi d'autre ? Le recrutement de 90 conseillers d'insertion et de probation ; la création d'une Sous-direction de la sécurité pénitentiaire en février 2017 et un renforcement du renseignement pénitentiaire avec  la création de 51  postes (pour 186  agents auparavant).
© Sarah ALCALAY / SIPA