L'attentat manqué des Champs-Elysées, précurseur ?

Jusqu'ici, aucune voiture piégée n'avait été employée sur le continent Européen. © Noemie Pfister / AP / SIPA
Lors de l'attentat manqué des Champs-Elysées, le 19 juin dernier, un individu, décédé dans l'impact du choc, a percuté un fourgon de gendarmes avec sa voiture, entraînant une déflagration. D'après une source policière citée par l'Express, le conducteur aurait initialement tenté de provoquer une explosion avec un briquet et des bonbonnes de gaz, juste avant la collision, après avoir prêté allégeance à Daesh. La voiture contenait, en plus de munitions plus classiques, des explosifs pour la faire sauter, a confirmé le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb. Jusqu'ici, aucune voiture piégée ou assimilée n'avait été employée sur le continent européen.
Lors de l'attentat manqué des Champs-Elysées, le 19 juin dernier, un individu, décédé dans l'impact du choc, a percuté un fourgon de gendarmes avec sa voiture, entraînant une déflagration. D'après une source policière citée par l'Express, le conducteur aurait initialement tenté de provoquer une explosion avec un briquet et des bonbonnes de gaz, juste avant la collision, après avoir prêté allégeance à Daesh. La voiture contenait, en plus de munitions plus classiques, des explosifs pour la faire sauter, a confirmé le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb. Jusqu'ici, aucune voiture piégée ou assimilée n'avait été employée sur le continent européen.
© Noemie Pfister / AP / SIPA