Le vaccin contre le cancer du col de l'utérus est "efficace et sûr"

Vaccination d'une adolescente contre le papillomavirus humain (HPV), responsable de la plupart des cancers du col de l'utérus. © John Amis / AP / SIPA
Selon ses détracteurs, le vaccin contre le cancer du col de l'utérus participerait à l'apparition de maladie auto-immunes comme la sclérose en plaques... Le 4 février 2019, lors de la Journée mondiale contre le cancer, les autorités sanitaires françaises ont dénoncé ces "rumeurs" sur la nocivité du vaccin, démontrée par aucune étude, et affirmé que la vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) est "sûre et indispensable pour éliminer le cancer du col de l'utérus", quatrième cancer le plus fréquent chez la femme (source Circ/IARC, Centre international de recherche sur le cancer rattaché à l'OMS). Les HPV sont un groupe de virus très courants se transmettant via les rapports sexuels. Deux de ces virus, HPV 16 et HPV 18, entraînent 70% des cancers et lésions précancéreuses du col de l'utérus, d'après l'OMS. En France, ce vaccin est recommandé aux filles de 11 à 14 ans et son extension aux garçons est à l'étude.
Selon ses détracteurs, le vaccin contre le cancer du col de l'utérus participerait à l'apparition de maladie auto-immunes comme la sclérose en plaques... Le 4 février 2019, lors de la Journée mondiale contre le cancer, les autorités sanitaires françaises ont dénoncé ces "rumeurs" sur la nocivité du vaccin, démontrée par aucune étude, et affirmé que la vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) est "sûre et indispensable pour éliminer le cancer du col de l'utérus", quatrième cancer le plus fréquent chez la femme (source Circ/IARC, Centre international de recherche sur le cancer rattaché à l'OMS). Les HPV sont un groupe de virus très courants se transmettant via les rapports sexuels. Deux de ces virus, HPV 16 et HPV 18, entraînent 70% des cancers et lésions précancéreuses du col de l'utérus, d'après l'OMS. En France, ce vaccin est recommandé aux filles de 11 à 14 ans et son extension aux garçons est à l'étude.
© John Amis / AP / SIPA