Brigitte : "J'ai eu peur de mourir"

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La situation aurait alors très vite complètement dérapé. "Je n'ai pas crié, de peur qu'il me frappe. Il s'est mis à m'insulter (…) J'ai eu peur de mourir. J'étais terrifiée et paralysée", confie Brigitte. Elle dit avoir rapidement subi des actes de violences sexuelles qui auraient duré des heures, en plus des "coups" et des "claques" que Brigitte prétend auprès de Libération avoir reçu toute la nuit. "Il me disait qu'il y avait deux catégories de femmes qui refusaient d'embrasser : les prostituées et les espionnes. Il m'a alors redemandé si j'étais des RG (les Renseignements Généraux, ndlr). Chaque fois que je tendais la main vers mon portable, il l'attrapait et me disait : 'Occupe-toi de ton homme !' ".  Tariq Ramadan ne "s'endormant pas", ce n'est qu'à 6h30 qu'elle aurait eu l'occasion de s'échapper de cette chambre d'hôtel genevois.
La situation aurait alors très vite complètement dérapé. "Je n'ai pas crié, de peur qu'il me frappe. Il s'est mis à m'insulter (…) J'ai eu peur de mourir. J'étais terrifiée et paralysée", confie Brigitte. Elle dit avoir rapidement subi des actes de violences sexuelles qui auraient duré des heures, en plus des "coups" et des "claques" que Brigitte prétend auprès de Libération avoir reçu toute la nuit. "Il me disait qu'il y avait deux catégories de femmes qui refusaient d'embrasser : les prostituées et les espionnes. Il m'a alors redemandé si j'étais des RG (les Renseignements Généraux, ndlr). Chaque fois que je tendais la main vers mon portable, il l'attrapait et me disait : 'Occupe-toi de ton homme !' ".  Tariq Ramadan ne "s'endormant pas", ce n'est qu'à 6h30 qu'elle aurait eu l'occasion de s'échapper de cette chambre d'hôtel genevois.
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