Dans un entretien à GQ France publié le 25 avril 2019, Mounia Rabbouj (qui rend désormais son nom public dans les médias) a révélé que "si Tariq Ramadan s'excusait", elle pourrait "retirer sa plainte". L'islamologue suisse mis en examen pour deux viols ne semble pas dans cette optique, lui qui vient de sortir l'ouvrage "Devoir de vérité", le 11 septembre. Dans ce livre, il n'est en effet question "d'aucune révélation concernant les accusations dont il fait l'objet, ni mea culpa au sujet de la double vie très agitée et peu conforme aux standards de la morale islamique menée par le théologien et révélée par l'enquête judiciaire", dixit le service Justice de Libération. "Tout ce que j'ai fait l'a été dans le consentement", a martelé le principal intéressé le 6 septembre dernier sur BFMTV-RMC, dénonçant un "traquenard" organisé contre sa personne et qualifiant ses accusatrices de "menteuses".
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