"Menaces et intimidation"

Image d'illustration. © Jon Bilous / 123RF
Selon sa plainte, la femme aurait été contactée par Tariq Ramadan lui-même via l'application Messenger des années après les faits présumés, le 28 janvier 2019. Ce dernier aurait alors affirmé vouloir lui faire "une proposition", "sur le plan professionnel". La plaignante affirme n'avoir pas répondu. Elle raconte qu'elle a reçu le lendemain la visite de deux hommes menaçants : "Ils m'ont dit que Tariq Ramadan avait essayé de me joindre [...] et si j'avais les idées mal intentionnées ils pouvaient arranger ça". D'après l'AFP et de source judiciaire, le parquet de Paris a adressé fin juillet un réquisitoire supplétif permettant d'élargir l'enquête à des faits de menaces et d'intimidation en plus du présumé viol en réunion. Les juges d'instruction chargés de l'enquête décideront de prononcer ou non une nouvelle mise en examen du théologien pour ces faits.
Selon sa plainte, la femme aurait été contactée par Tariq Ramadan lui-même via l'application Messenger des années après les faits présumés, le 28 janvier 2019. Ce dernier aurait alors affirmé vouloir lui faire "une proposition", "sur le plan professionnel". La plaignante affirme n'avoir pas répondu. Elle raconte qu'elle a reçu le lendemain la visite de deux hommes menaçants : "Ils m'ont dit que Tariq Ramadan avait essayé de me joindre [...] et si j'avais les idées mal intentionnées ils pouvaient arranger ça". D'après l'AFP et de source judiciaire, le parquet de Paris a adressé fin juillet un réquisitoire supplétif permettant d'élargir l'enquête à des faits de menaces et d'intimidation en plus du présumé viol en réunion. Les juges d'instruction chargés de l'enquête décideront de prononcer ou non une nouvelle mise en examen du théologien pour ces faits.
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