Télétravail : il est toujours à privilégier

22 avril 2020 à Gace. Les personnes vulnérables percevront le chômage partiel si elles ne peuvent pas télétravailler. © RAPHAEL BLOCH / SIPA

Le gouvernement a indiqué le 28 mai que le télétravail restait "à privilégier" en cette deuxième phase de déconfinement.
Le retour au travail en présentiel est particulièrement déconseillé aux citoyens à risque (femmes enceintes, pathologies chroniques...). Les personnes vulnérables qui télétravaillent doivent ainsi continuer à le faire. Quand ce n'est pas possible, le Premier ministre a précisé qu' "elles continueront à être rémunérées au titre du chômage partiel".
Concernant les parents des enfants qui ne peuvent être accueillis à l'école pour des raisons sanitaires, Edouard Philippe a annoncé dès le 26 mai qu'à partir du 2 juin, ils "pourront continuer à bénéficier des dispositions relatives au chômage partiel". Ces parents devront disposer d'une "attestation qui permettra d'établir le fait que leur enfant ne peut pas être accueilli".

Le gouvernement a indiqué le 28 mai que le télétravail restait "à privilégier" en cette deuxième phase de déconfinement. Le retour au travail en présentiel est particulièrement déconseillé aux citoyens à risque (femmes enceintes, pathologies chroniques...). Les personnes vulnérables qui télétravaillent doivent ainsi continuer à le faire. Quand ce n'est pas possible, le Premier ministre a précisé qu' "elles continueront à être rémunérées au titre du chômage partiel". Concernant les parents des enfants qui ne peuvent être accueillis à l'école pour des raisons sanitaires, Edouard Philippe a annoncé dès le 26 mai qu'à partir du 2 juin, ils "pourront continuer à bénéficier des dispositions relatives au chômage partiel". Ces parents devront disposer d'une "attestation qui permettra d'établir le fait que leur enfant ne peut pas être accueilli".
© RAPHAEL BLOCH / SIPA