Des restrictions aux frontières pour empêcher l'entrée des variants

5 février 2021 à l'aéroport Paris-Charles de Gaulle à Roissy, où la Protection civile contrôle les passagers. © Jacques Witt/SIPA

Depuis le 23 décembre dernier, les Français, les ressortissants de l'Espace européen et les ressortissants britanniques ou de pays tiers qui, soit résident habituellement en France ou dans l'Espace européen, soit doivent effectuer des déplacements indispensables, sont autorisés à revenir en France.

Depuis la fin janvier, les restrictions aux frontières se sont encore durcies. Depuis le 24 janvier, un test PCR est exigé pour tous les voyageurs en provenance de l'espace européen avant leur entrée en France. Ce test doit être réalisé 72 heures avant le départ. Seuls les "voyages essentiels" sont exemptés, en somme, majoritairement les trajets en voiture des travailleurs frontaliers. Le 29 janvier, Jean Castex a annoncé que pour les voyageurs venant d'un pays extérieur à l'espace européen, l'entrée sur le territoire était en revanche interdite, sauf motif impérieux.

Depuis le 23 décembre dernier, les Français, les ressortissants de l'Espace européen et les ressortissants britanniques ou de pays tiers qui, soit résident habituellement en France ou dans l'Espace européen, soit doivent effectuer des déplacements indispensables, sont autorisés à revenir en France. Depuis la fin janvier, les restrictions aux frontières se sont encore durcies. Depuis le 24 janvier, un test PCR est exigé pour tous les voyageurs en provenance de l'espace européen avant leur entrée en France. Ce test doit être réalisé 72 heures avant le départ. Seuls les "voyages essentiels" sont exemptés, en somme, majoritairement les trajets en voiture des travailleurs frontaliers. Le 29 janvier, Jean Castex a annoncé que pour les voyageurs venant d'un pays extérieur à l'espace européen, l'entrée sur le territoire était en revanche interdite, sauf motif impérieux.
© Jacques Witt/SIPA