Pour se préserver des variants, gardez (encore plus) vos distances !

9 janvier 2021 devant l'école Henri Barbusse de Bagneux, dans laquelle une vaste opération de dépistage en milieu scolaire a lieu après une contamination au variant anglais.  © NICOLAS MESSYASZ/SIPA

Depuis une annonce du ministre de la Santé Olivier Véran le 21 janvier, la distance d'un mètre jusqu'alors préconisée dans la liste des gestes barrières à adopter est passée à 2 mètres, compte tenu de la forte contagiosité du variant.

Une "note" urgente de la Direction générale de la Santé envoyée le 7 février à tous les professionnels de santé de France a ajouté de nouvelles mesures : un test antigénique ou PCR positif doit désormais "obligatoirement" faire l'objet d'un second prélèvement de criblage, dans un délai de 36 heures maximum, pour déterminer la souche à l'origine de la contamination. Dans les écoles, au premier cas reliés à un variant (y compris un cas contact), la fermeture de la classe est devenue automatique. Un isolement de dix jours est aussi requis (au lieu de 7 précédemment).

Depuis une annonce du ministre de la Santé Olivier Véran le 21 janvier, la distance d'un mètre jusqu'alors préconisée dans la liste des gestes barrières à adopter est passée à 2 mètres, compte tenu de la forte contagiosité du variant. Une "note" urgente de la Direction générale de la Santé envoyée le 7 février à tous les professionnels de santé de France a ajouté de nouvelles mesures : un test antigénique ou PCR positif doit désormais "obligatoirement" faire l'objet d'un second prélèvement de criblage, dans un délai de 36 heures maximum, pour déterminer la souche à l'origine de la contamination. Dans les écoles, au premier cas reliés à un variant (y compris un cas contact), la fermeture de la classe est devenue automatique. Un isolement de dix jours est aussi requis (au lieu de 7 précédemment).
© NICOLAS MESSYASZ/SIPA