Le vaccin protège des formes graves...

Une chambre vide en service de réanimation, dans un hôpital de Vannes, le 24 avril 2020. © Maxime Le Pihif/SIPA

L'argument du freinage de l'épidémie par le vaccin a un peu perdu de sa puissance. Dans les sphères antivax et antipass, on pointe les statistiques danoises et allemandes sur le statut vaccinal des infectés par Omicron pour souligner que ce variant joue davantage à cache-cache avec la vaccination que ses prédécesseurs. Face à cet état de fait scientifiquement prouvé, le médecin Yvon Le Flohic, habitué des réseaux sociaux, invite sur Twitter à changer d'angle d'attaque pour défendre la vaccination : "Il faut faire le deuil de la vaccination comme outil de maîtrise de la propagation et de l'incidence. Et insister sur le fait que les vaccins protègent des formes graves, qu'ils protègent notre système de soins. (...)". Dixit l'épidémiologiste Pascal Crépey, "Réserver l'accès à certaines activités aux personnes vaccinées "permet aussi d'éviter que des personnes non protégées s'exposent dans des lieux recevant du public".

L'argument du freinage de l'épidémie par le vaccin a un peu perdu de sa puissance. Dans les sphères antivax et antipass, on pointe les statistiques danoises et allemandes sur le statut vaccinal des infectés par Omicron pour souligner que ce variant joue davantage à cache-cache avec la vaccination que ses prédécesseurs. Face à cet état de fait scientifiquement prouvé, le médecin Yvon Le Flohic, habitué des réseaux sociaux, invite sur Twitter à changer d'angle d'attaque pour défendre la vaccination : "Il faut faire le deuil de la vaccination comme outil de maîtrise de la propagation et de l'incidence. Et insister sur le fait que les vaccins protègent des formes graves, qu'ils protègent notre système de soins. (...)". Dixit l'épidémiologiste Pascal Crépey, "Réserver l'accès à certaines activités aux personnes vaccinées "permet aussi d'éviter que des personnes non protégées s'exposent dans des lieux recevant du public".
© Maxime Le Pihif/SIPA