... preuves scientifiques à l'appui

Image d'illustration. © metamorworks / Stock.adobe.com

Selon une étude sud-africaine citée début janvier par l'épidémiologiste Eric d'Ortenzio, "en période de circulation prédominante d'Omicron, l'efficacité vaccinale contre les formes graves chez des patients vaccinés avec deux doses de Pfizer (...) s'élève à 70 %". Le membre de l'agence ANRS-Maladies infectieuses émergentes en déduit que "probablement, avec trois doses, le vaccin confère une protection [encore] meilleure contre les formes graves". Et d'après son confrère Bruno Hoen, des résultats obtenus "in vitro" suggèrent même "que le sérum des individus récemment et complètement vaccinés contient un niveau d'anticorps capable d'empêcher le développement d'une infection". Autrement dit, ces personnes peuvent "acquérir, héberger et répliquer le virus", mais, "souvent ne sont même pas symptomatiques".  

Selon une étude sud-africaine citée début janvier par l'épidémiologiste Eric d'Ortenzio, "en période de circulation prédominante d'Omicron, l'efficacité vaccinale contre les formes graves chez des patients vaccinés avec deux doses de Pfizer (...) s'élève à 70 %". Le membre de l'agence ANRS-Maladies infectieuses émergentes en déduit que "probablement, avec trois doses, le vaccin confère une protection [encore] meilleure contre les formes graves". Et d'après son confrère Bruno Hoen, des résultats obtenus "in vitro" suggèrent même "que le sérum des individus récemment et complètement vaccinés contient un niveau d'anticorps capable d'empêcher le développement d'une infection". Autrement dit, ces personnes peuvent "acquérir, héberger et répliquer le virus", mais, "souvent ne sont même pas symptomatiques".  
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