Le vaccin limite les déprogrammations hospitalières 

Image d'illustration. © taniasv / stock.adobe.com

D'après l'épidémiologiste Eric d'Ortenzio auprès de la presse en janvier, l'intérêt du pass vaccinal réside dans le mécanisme suivant : en exerçant une pression sur les non-vaccinés pour qu'ils se fassent vacciner, "d'une part, on les protège contre les formes graves de la maladie et, d'autre part, on empêche un engorgement des hôpitaux par les non-vaccinés". Résultat : la pression que subissent les services de réanimation diminue, "et on permet à des malades qui ont d'autres pathologies de ne pas être déprogrammés sur des chirurgies ou des traitements". Le spécialiste conclut : "C'est à la fois une protection individuelle et collective."

D'après l'épidémiologiste Eric d'Ortenzio auprès de la presse en janvier, l'intérêt du pass vaccinal réside dans le mécanisme suivant : en exerçant une pression sur les non-vaccinés pour qu'ils se fassent vacciner, "d'une part, on les protège contre les formes graves de la maladie et, d'autre part, on empêche un engorgement des hôpitaux par les non-vaccinés". Résultat : la pression que subissent les services de réanimation diminue, "et on permet à des malades qui ont d'autres pathologies de ne pas être déprogrammés sur des chirurgies ou des traitements". Le spécialiste conclut : "C'est à la fois une protection individuelle et collective."
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