Comment éviter les pièges de l'assurance sport d'hiver Ce qu'offre une bonne assurance sport d'hiver

L'assurance sport d'hiver n'est nullement obligatoire. Reste qu'elle évite bien des tracas lors d'un accident en montagne. A condition de choisir le bon contrat, et qu'il corresponde bel et bien à vos besoins. Un contrat nous paraît intéressant lorsqu'il propose une prise en charge des accidents corporels, du bris ou du vol des skis et rembourse les frais de séjours pour les jours restant (notamment de location du logement de vacances), le forfait des remontées mécaniques à hauteur des jours non consommés, les leçons de ski, les frais de secours sur piste balisée ou non jusqu'à la prise en charge dans un établissement hospitalier et les frais de recherche dans la montagne. A cela s'ajoute la prise en charge des pertes de revenus en cas d'arrêt de travail ou le versement d'un capital en cas d'invalidé ou de décès.

Des contrats d'une journée, d'une semaine ou d'un an

Toutes les compagnies d'assurance proposent des extensions de garanties. Pour départager des offres similaires, il convient de regarder s'il existe des franchises ou des plafonds. Ces restrictions a priori anodines peuvent devenir un vrai piège et rendre l'intérêt de souscrire à une assurance assez faible. Il faut aussi faire attention sur le nombre de personnes couvertes. En effet, il existe des contrats individuels et familiaux. Dans ces derniers, il peut arriver que le nombre de personnes de votre foyer pris en charge soit limité. Cela étant, ramenés à chaque personne, les prix sont avantageux. Par ailleurs, portez votre attention sur la durée du contrat. Généralement, il débute le jour de la souscription jusqu'au 31 octobre. C'est-à-dire au début de la nouvelle saison de ski.