Gérer sa succession au travers de l'assurance-vie

Les contrats d'assurance-vie souscrits avant le 20 novembre 1991 sont totalement exonérés. © Alexskopje - Fotolia

Le contrat d'assurance-vie permet de léguer une partie de son épargne. Cela passe par la clause bénéficiaire qui permet de choisir la personne que l'on veut pour percevoir le capital placé. Les sommes ainsi transmises échappent à la succession. Pour autant, si le montant s'avère trop élevé au regard du montant total du patrimoine, les héritiers peuvent dénoncer le contrat et faire intégrer l'assurance-vie dans la succession. L'autre intérêt est que les sommes perçues par le bénéficiaire ne sont pas imposées dans la limite de 152 500 euros pour les contrats signés avant 20 novembre 1991 et pour les versements réalisés après le 13 octobre 1998 quand le souscripteur a moins de 70 ans, notamment. D'où l'importance de prendre toutes les précautions au moment de rédiger la clause bénéficiaire afin d'éviter trop d'écueils au fil du temps.

Le contrat d'assurance-vie permet de léguer une partie de son épargne. Cela passe par la clause bénéficiaire qui permet de choisir la personne que l'on veut pour percevoir le capital placé. Les sommes ainsi transmises échappent à la succession. Pour autant, si le montant s'avère trop élevé au regard du montant total du patrimoine, les héritiers peuvent dénoncer le contrat et faire intégrer l'assurance-vie dans la succession. L'autre intérêt est que les sommes perçues par le bénéficiaire ne sont pas imposées dans la limite de 152 500 euros pour les contrats signés avant 20 novembre 1991 et pour les versements réalisés après le 13 octobre 1998 quand le souscripteur a moins de 70 ans, notamment. D'où l'importance de prendre toutes les précautions au moment de rédiger la clause bénéficiaire afin d'éviter trop d'écueils au fil du temps.
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