Une meilleure prise en compte de la pénibilité

Le député Boris Vallaud en commission spéciale de l'Assemblée nationale. © Jacques Witt/SIPA
Les propositions du Parti socialiste ne se limitent pas au financement des retraites. Il est proposé, comme les Insoumis, une meilleure prise en compte de la pénibilité avec trois propositions :
  • La réintroduction des 4 critères écartés du C2P en 2017, comme le port de charges lourdes. Le gouvernement, lui, refuse leur retour au sein du compte professionnel de prévention estimant que leur application n'est pas possible. 
  • "Assurer une meilleure prévention de la pénibilité" : sur ce point, aucune précision n'est toutefois apportée. "Elle pourrait faire l'objet d'un mécanisme, en réparation et en prévention, discuté par les partenaires sociaux", se contente-t-on d'indiquer
  • "Ouvrir une négociation pour élargir les critères et abaisser les seuils de pénibilité". Pour rappel, l'exécutif a annoncé un abaissement des seuils pour le travail de nuit de 120 à 110 nuits, et "celui des équipes successives alternantes de 50 à 30 nuits", peut-on lire dans le projet de loi. 
Les propositions du Parti socialiste ne se limitent pas au financement des retraites. Il est proposé, comme les Insoumis, une meilleure prise en compte de la pénibilité avec trois propositions :
  • La réintroduction des 4 critères écartés du C2P en 2017, comme le port de charges lourdes. Le gouvernement, lui, refuse leur retour au sein du compte professionnel de prévention estimant que leur application n'est pas possible. 
  • "Assurer une meilleure prévention de la pénibilité" : sur ce point, aucune précision n'est toutefois apportée. "Elle pourrait faire l'objet d'un mécanisme, en réparation et en prévention, discuté par les partenaires sociaux", se contente-t-on d'indiquer
  • "Ouvrir une négociation pour élargir les critères et abaisser les seuils de pénibilité". Pour rappel, l'exécutif a annoncé un abaissement des seuils pour le travail de nuit de 120 à 110 nuits, et "celui des équipes successives alternantes de 50 à 30 nuits", peut-on lire dans le projet de loi. 

© Jacques Witt/SIPA