Bruno Famin ne voit toutefois pas les premières étapes en Argentine comme une partie de plaisir. "On craint qu'ASO ait durci certaines sections pour pallier l'absence du Pérou. Or, plus un rallye est dur, plus il favorise de facto les équipes expérimentées. Ça ne plaide pas en notre faveur. Ensuite, l'altitude fera que le passage en Bolivie sera aussi plein de contraintes techniques mais aussi humaines. Le mal de l'altitude ne s'anticipe pas vraiment. Ce n'est pas parce qu'on a été épargné une année qu'on est exempt par la suite. Et on y passe trois jours complets !"
 
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