La guerre continue de faire rage entre Amber Heard et Johnny Depp

L'affaire Depp/Heard n'est toujours pas terminée ! Alors que l'acteur accuse son ex-femme de violer les termes de leur contrat, elle assure qu'il fait tout ce qu'il peut pour ne pas lui verser les 7 millions qu'il lui doit.

Aucun des deux acteurs ne semble prêt à respecter l'accord du divorce. Pourtant, les deux stars avaient fini par se séparer plus ou moins à l'amiable, cet été. De ce bref mariage (1 an et 3 mois), Amber Heard aurait dû tirer 7 millions de dollars. Johnny Depp s'était effectivement engagé à lui verser cette somme, mais seulement si elle cessait de l'accuser de violences conjugales. Le problème est qu'après une vidéo qu'elle tournée fin novembre, à l'occasion de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, l'actrice a recommencé. Dans le magazine Porter, elle a publié lundi une très longue lettre qui fait référence à ce qu'elle a subi.

"Quand une femme se force à élever la voix contre l'injustice et sa souffrance, elle va rencontrer de l'hostilité, du scepticisme et de la honte." Cette allusion très claire à son propre parcours n'était pas autorisée par les termes du contrat qu'elle a signé avec son ex-mari. Même si elle ne cite pas directement son nom, tous ceux qui ont un tant soit peu suivi l'histoire savent qui l'actrice désigne en tant que coupable de ces violences. Hier, le DailyMail a confirmé que l'acteur principal de Pirates des Caraïbes refuse à présent de lui verser la somme due. Le site explique qu'il considère cette lettre ouverte comme une violation de la clause de confidentialité. Il comptait apparemment lui verser l'argent dans les prochains jours mais serait "furieux" de cette nouvelle attaque, bien qu'indirecte. A présent, les éléments seraient entre les mains d'un juge. Et, selon les documents officiels dévoilés par le Daily Mail, l'affaire pourrait encore ternir l'image de l'ex de Vanessa Paradis. En effet, en plus de retarder son paiement, il n'aurait pas laissé Amber Heard récupérer ses affaires personnelles dans la maison qu'ils partageaient, et il aurait empêché la division des biens communs tels que les meubles et les voitures.