Il souhaitait poursuivre l'Etat en justice

© HORODYNSKY/SIPA
Suite à ses multiples opérations après son accident de moto, Guillaume Depardieu ne fera pas de cadeaux au personnel médical. "Jamais un médecin ne m'a dit la vérité, on est dans l'hypocrisie, le non-dit. Les médecins devraient prendre des cours de psychologie. Ils prennent les gens pour des cons en oubliant que ce sont eux qui vivent le calvaire. J'ai fait une faute dans ma vie : j'ai fait confiance à la médecine." Quelques années après la contraction d'une maladie nosocomiale dans un hôpital, Guillaume Depardieu expliquait en 2003 vouloir poursuivre en justice l'Etat et les hôpitaux français, suite à ce qu'il décrit comme un "acharnement thérapeutique" sur sa personne. "On entre à l'hôpital pour être soigné, et non pour en sortir encore plus malade".
Suite à ses multiples opérations après son accident de moto, Guillaume Depardieu ne fera pas de cadeaux au personnel médical. "Jamais un médecin ne m'a dit la vérité, on est dans l'hypocrisie, le non-dit. Les médecins devraient prendre des cours de psychologie. Ils prennent les gens pour des cons en oubliant que ce sont eux qui vivent le calvaire. J'ai fait une faute dans ma vie : j'ai fait confiance à la médecine." Quelques années après la contraction d'une maladie nosocomiale dans un hôpital, Guillaume Depardieu expliquait en 2003 vouloir poursuivre en justice l'Etat et les hôpitaux français, suite à ce qu'il décrit comme un "acharnement thérapeutique" sur sa personne. "On entre à l'hôpital pour être soigné, et non pour en sortir encore plus malade".
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