Un véritable révolté

© ROUSSIER/SIPA
En interview au Monde en 2004, Guillaume Depardieu n'hésitait pas à se rebeller contre les grandes entreprises et notamment l'industrie pharmaceutique ou encore les hommes politiques. Tandis que lui profitait du "top de la prothèse, non remboursée par la Sécurité sociale" suite à son accident de moto, "l'ouvrier, à qui il arrive la même chose, lui, il crève et qu'à l'étranger, les enfants qui sautent sur les mines se retrouvent avec des prothèses moyenâgeuses". Selon lui, "l'industrie pharmaceutique, soutenue par les hommes politiques, a développé à outrance les antibiotiques sans se soucier des problèmes de résistance que cette décision allait entraîner".
En interview au Monde en 2004, Guillaume Depardieu n'hésitait pas à se rebeller contre les grandes entreprises et notamment l'industrie pharmaceutique ou encore les hommes politiques. Tandis que lui profitait du "top de la prothèse, non remboursée par la Sécurité sociale" suite à son accident de moto, "l'ouvrier, à qui il arrive la même chose, lui, il crève et qu'à l'étranger, les enfants qui sautent sur les mines se retrouvent avec des prothèses moyenâgeuses". Selon lui, "l'industrie pharmaceutique, soutenue par les hommes politiques, a développé à outrance les antibiotiques sans se soucier des problèmes de résistance que cette décision allait entraîner".
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