Le sweat qui détecte le niveau de pollution

Généralement, on apprend que le niveau de pollution de l'air est élevé après-coup, par exemple lorsqu'on se met à tousser dès qu'on sort dans la rue ou que les autorités prennent des mesures type circulation alternée. Ce ne serait pas mieux si on était prévenu avant ?
C'est exactement ce que s'est dit le créateur de la marque Aerochromics qui a mis au point une ligne de sweat-shirts qui réagissent et changent de couleur en fonction de la qualité de l'air. Trois technologies différentes (sels chimiques, capteur et patch thermique, teinture spéciale) sont utilisées en fonction de ce que l'on souhaite détecter : le monoxyde de carbone, le taux de particules fines et la radioactivité. Après, il faut aimer le noir et blanc qui vire au gris quand la pollution est détectée, mais ces sweat-shirts ont le mérite d'exister et d'être commercialisés. Au prix fort cependant : entre 500 et 650 dollars pièce, soit l'équivalent de 477 à 621 euros.

Généralement, on apprend que le niveau de pollution de l'air est élevé après-coup, par exemple lorsqu'on se met à tousser dès qu'on sort dans la rue ou que les autorités prennent des mesures type circulation alternée. Ce ne serait pas mieux si on était prévenu avant ? C'est exactement ce que s'est dit le créateur de la marque Aerochromics qui a mis au point une ligne de sweat-shirts qui réagissent et changent de couleur en fonction de la qualité de l'air. Trois technologies différentes (sels chimiques, capteur et patch thermique, teinture spéciale) sont utilisées en fonction de ce que l'on souhaite détecter : le monoxyde de carbone, le taux de particules fines et la radioactivité. Après, il faut aimer le noir et blanc qui vire au gris quand la pollution est détectée, mais ces sweat-shirts ont le mérite d'exister et d'être commercialisés. Au prix fort cependant : entre 500 et 650 dollars pièce, soit l'équivalent de 477 à 621 euros.
© Aerochromics