Renaud, le succès coupable

Renaud sur scène à l'Olympia en 1982 © VILLARD/SIPA
Dans les années 1970, la carrière de Renaud décolle. Après le Café de la Gare, il est repéré par des producteurs parisiens, et sort son premier 33 tours, "Amoureux de Paname", en mars 1975. S'il enchaîne toujours les petits boulots, il commence à vivre de la musique. Le grand public le découvre en 1978, grâce au titre "Laisse béton" qui fait exploser sa notoriété. Les médias s'intéressent à lui, les salles de concert se remplissent.
Ce succès fera naître chez lui une culpabilité vis-à-vis de son père, comme il le raconte dans son autobiographie. Un jour, dans le journal intime de son père, il tombe sur ces mots : "Le succès de mon fils me tue". À cette époque, Renaud fête son cinquième album, "Le Retour de Gérard Lambert". Pendant toute sa carrière, après tous ses succès, cette culpabilité ne le lâchera pas.
Dans les années 1970, la carrière de Renaud décolle. Après le Café de la Gare, il est repéré par des producteurs parisiens, et sort son premier 33 tours, "Amoureux de Paname", en mars 1975. S'il enchaîne toujours les petits boulots, il commence à vivre de la musique. Le grand public le découvre en 1978, grâce au titre "Laisse béton" qui fait exploser sa notoriété. Les médias s'intéressent à lui, les salles de concert se remplissent. Ce succès fera naître chez lui une culpabilité vis-à-vis de son père, comme il le raconte dans son autobiographie. Un jour, dans le journal intime de son père, il tombe sur ces mots : "Le succès de mon fils me tue". À cette époque, Renaud fête son cinquième album, "Le Retour de Gérard Lambert". Pendant toute sa carrière, après tous ses succès, cette culpabilité ne le lâchera pas.
© VILLARD/SIPA