La boucle est bouclée

Le cycle de l'eau se termine là où tout à commencer.

Le compte est bon

Le cycle de l'eau est infini et ne nécessite par la présence obligatoire d'êtres vivants pour fonctionner. C'est pourquoi les scientifiques ne le qualifient par de cycle biogéochimique à proprement parlé.

Il n'est en rien statique car des échanges et des transports d'énergie s'opèrent entre l'atmosphère, les océans, les continents et les sols terrestres. Mais force est de constater que les océans ne perdent pas d'eau, in fine, puisque la partie évaporée leur est restituée directement par les précipitations ou indirectement par les fleuves et rivières.

Si on veut être rigoureusement exact, une infime partie de l'eau évaporée peut sortir de l'atmosphère et être définitivement perdue.

Le compte est bon Le cycle de l'eau est infini et ne nécessite par la présence obligatoire d'êtres vivants pour fonctionner. C'est pourquoi les scientifiques ne le qualifient par de cycle biogéochimique à proprement parlé. Il n'est en rien statique car des échanges et des transports d'énergie s'opèrent entre l'atmosphère, les océans, les continents et les sols terrestres. Mais force est de constater que les océans ne perdent pas d'eau, in fine, puisque la partie évaporée leur est restituée directement par les précipitations ou indirectement par les fleuves et rivières. Si on veut être rigoureusement exact, une infime partie de l'eau évaporée peut sortir de l'atmosphère et être définitivement perdue.