La plus forte affluence

Le Stade de France a déjà accueilli plus de 80 000 personnes pour un match des Bleus. © Jacques Veylet

A domicile

Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce n'est pas face au Brésil, à l'Italie ou au Portugal que le record a été battu. Non, c'est l'Ukraine qui peut s'enorgueillir de cette performance !

En juin 2007, 80 051 spectateurs se sont rendus au Stade de France pour assister à la rencontre France-Ukraine qualificative pour l'Euro 2008. Ils ont eu le droit à 2 beaux buts, inscrits par Anelka et Ribéry.

A l'extérieur

En avril 1949, le Hampden Park de Glasgow était plein à craquer. Plus de 125 000 spectateurs se sont bousculés pour voir les Ecossais l'emporter 2-0...

Et aussi : télé, la meilleure audience

En règle générale, le record absolu est attribué à France-Portugal (1-0), en 1/2 finale du Mondial 2006 : selon Médiamétrie, 22,2 millions de télespectateurs ont regardé le match. Cependant, l'audience cumulée de TF1 et Canal + lors du Mondial 98 dépasse ce score. La finale France-Brésil aurait atteint un pic à 23 647 480 télespectateurs.

A domicile Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce n'est pas face au Brésil, à l'Italie ou au Portugal que le record a été battu. Non, c'est l'Ukraine qui peut s'enorgueillir de cette performance ! En juin 2007, 80 051 spectateurs se sont rendus au Stade de France pour assister à la rencontre France-Ukraine qualificative pour l'Euro 2008. Ils ont eu le droit à 2 beaux buts, inscrits par Anelka et Ribéry.A l'extérieur En avril 1949, le Hampden Park de Glasgow était plein à craquer. Plus de 125 000 spectateurs se sont bousculés pour voir les Ecossais l'emporter 2-0...Et aussi : télé, la meilleure audience En règle générale, le record absolu est attribué à France-Portugal (1-0), en 1/2 finale du Mondial 2006 : selon Médiamétrie, 22,2 millions de télespectateurs ont regardé le match. Cependant, l'audience cumulée de TF1 et Canal + lors du Mondial 98 dépasse ce score. La finale France-Brésil aurait atteint un pic à 23 647 480 télespectateurs.
© Jacques Veylet