Au PSG, il a gagné la confiance des dirigeants du foot français

Nasser Al-Khelaifi est un président respecté au PSG. © JOHN SPENCER/SIPA
L'ascension de Nasser Al-Khelaifi se poursuit en 2011 avec le rachat par QSI du Paris Saint-Germain, jusqu'alors aux mains de Colony Capital. Le prince héritier Al-Thani, qui deviendra émir en 2013, le nomme président. A ce poste, Al-Khelaïfi va rapidement faire l'unanimité à l'intérieur du club en et dehors. "À son arrivée, j'ai veillé à ce qu'il respecte bien notre ADN mais je me suis vite aperçu qu'il gérait le club de manière extrêmement intelligente", racontait Alain Cayzac, ex-président du club, à VSD, en 2016.

Même son de cloche chez la majorité de ses collègues présidents, du côté de la FFF ou de la Ligue de football, où tout le monde semble apprécier son élégance et sa courtoisie. "Et quand il n'est pas content, il le dit de façon très bien élevée", confiait Noël Le Graët en 2017.
L'ascension de Nasser Al-Khelaifi se poursuit en 2011 avec le rachat par QSI du Paris Saint-Germain, jusqu'alors aux mains de Colony Capital. Le prince héritier Al-Thani, qui deviendra émir en 2013, le nomme président. A ce poste, Al-Khelaïfi va rapidement faire l'unanimité à l'intérieur du club en et dehors. "À son arrivée, j'ai veillé à ce qu'il respecte bien notre ADN mais je me suis vite aperçu qu'il gérait le club de manière extrêmement intelligente", racontait Alain Cayzac, ex-président du club, à VSD, en 2016. Même son de cloche chez la majorité de ses collègues présidents, du côté de la FFF ou de la Ligue de football, où tout le monde semble apprécier son élégance et sa courtoisie. "Et quand il n'est pas content, il le dit de façon très bien élevée", confiait Noël Le Graët en 2017.
© JOHN SPENCER/SIPA