Les dessous de la rivalité avec Jean-Michel Aulas

Nasser Al-Khelaifi et Jean-Michel Aulas. © KENZO TRIBOUILLARD / AFP
Si le courant passe bien entre Nasser Al-Khelaifi et la plupart des autres présidents de clubs français, sa relation est beaucoup moins cordiale avec Jean-Michel Aulas, le boss de l'Olympique lyonnais. Depuis quelques années, ce dernier n'a cessé de s'en prendre au club parisien, en l'accusant de "tuer" la Ligue 1 à force d'investissements faramineux, en critiquant la fiscalité qatarie ou encore en jugeant "indécentes" les indemnités de licenciement accordée à Laurent Blanc en 2015.

D'un naturel calme et discret, Nasser Al-Khelaifi a fini par se fâcher, en avril 2016, en demandant à Aulas, en plein conseil d'administration de la LFP, d'arrêter de commenter la vie de son club. Après une période d'accalmie, les arrivées de Neymar et Mbappé au PSG, en 2017, ont à nouveau hérissé le poil du patron de l'OL, qui a évoqué "une dérégulation totale et inquiétante".
Si le courant passe bien entre Nasser Al-Khelaifi et la plupart des autres présidents de clubs français, sa relation est beaucoup moins cordiale avec Jean-Michel Aulas, le boss de l'Olympique lyonnais. Depuis quelques années, ce dernier n'a cessé de s'en prendre au club parisien, en l'accusant de "tuer" la Ligue 1 à force d'investissements faramineux, en critiquant la fiscalité qatarie ou encore en jugeant "indécentes" les indemnités de licenciement accordée à Laurent Blanc en 2015. D'un naturel calme et discret, Nasser Al-Khelaifi a fini par se fâcher, en avril 2016, en demandant à Aulas, en plein conseil d'administration de la LFP, d'arrêter de commenter la vie de son club. Après une période d'accalmie, les arrivées de Neymar et Mbappé au PSG, en 2017, ont à nouveau hérissé le poil du patron de l'OL, qui a évoqué "une dérégulation totale et inquiétante".
© KENZO TRIBOUILLARD / AFP