Sylvain Wiltord à l'Euro 2000

Sylvain Wiltord a redonné espoir aux supporters français. © Faucilhon - Fotolia.com

Sylvain Wiltord a traversé toute cette compétition dans la peau du remplaçant idéal.

Lors du premier match, face au Danemark, le Bordelais est entré à la 82e minute de jeu. Dix minutes plus tard, il concluait la belle prestation des Bleus en inscrivant un troisième but.

Contre la République Tchèque, Sylvain Wiltord remplace Nicolas Anelka à la 90e minute. Trop tard pour marquer. Au match suivant, alors que la France est déjà qualifiée pour les 1/4 de finale, il est titulaire d'entrée de jeu. Sur la 2e réalisation tricolore, il est à l'orgine du but.

En quart de finale, Roger Lemerre le laisse sur le banc des remplaçants. C'est ici qu'il débute la demi-finale face au Portugal. Entré à la 70e minute du match, il débloque la situation pendant les prolongations, en provoquant le penalty qui qualifie la France.

La fin du tournoi se termine en apothéose pour le Girondin. Appelé en renfort à la 58e minute, il remet les deux équipes à égalité (1-1) en trompant le gardien italien dans le temps additionnel. Sans lui, les Bleus n'auraient pas pu jouer les prolongations... Et donc, n'auraient jamais été champions d'Europe.

Sylvain Wiltord a traversé toute cette compétition dans la peau du remplaçant idéal. Lors du premier match, face au Danemark, le Bordelais est entré à la 82e minute de jeu. Dix minutes plus tard, il concluait la belle prestation des Bleus en inscrivant un troisième but. Contre la République Tchèque, Sylvain Wiltord remplace Nicolas Anelka à la 90e minute. Trop tard pour marquer. Au match suivant, alors que la France est déjà qualifiée pour les 1/4 de finale, il est titulaire d'entrée de jeu. Sur la 2e réalisation tricolore, il est à l'orgine du but. En quart de finale, Roger Lemerre le laisse sur le banc des remplaçants. C'est ici qu'il débute la demi-finale face au Portugal. Entré à la 70e minute du match, il débloque la situation pendant les prolongations, en provoquant le penalty qui qualifie la France. La fin du tournoi se termine en apothéose pour le Girondin. Appelé en renfort à la 58e minute, il remet les deux équipes à égalité (1-1) en trompant le gardien italien dans le temps additionnel. Sans lui, les Bleus n'auraient pas pu jouer les prolongations... Et donc, n'auraient jamais été champions d'Europe.
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