Sylvain Chavanel, pas taillé pour le Tour de France

Sylvain Chavanel s'est révélé être davantage un coureur de classiques plutôt qu'un potentiel vainqueur du Tour de France. © Jean-Marc Foquet - Galerie photo

De la même manière que Noah au tennis, le cyclisme Français attend un successeur à Bernard Hinault, vainqueur du Tour de France en 1985. Depuis, aucun coureur tricolore n'a remporté la Grande Boucle.

A ses débuts professionnels, au début des années 2000, Sylvain Chavanel fait naître de grands espoirs, en remportant notamment les Quatre Jours de Dunkerque et le Trophée des Grimpeurs. On croit alors que l'on tient enfin un coureur capable de remporter la Grande Boucle.

Malheureusement, Chavanel n'a jamais fait mieux qu'une 19e place au classement général du Tour de France. Au fil des ans, il s'est plutôt affirmé comme un coureur de classiques (vainqueur de La Flèche Brabançonne, A Travers les Flandres, plusieurs places d'honneur sur le Tour des Flandres, Milan-San Remo...) et un redoutable concurrent en contre-la-montre (5 fois champion de France).

De la même manière que Noah au tennis, le cyclisme Français attend un successeur à Bernard Hinault, vainqueur du Tour de France en 1985. Depuis, aucun coureur tricolore n'a remporté la Grande Boucle. A ses débuts professionnels, au début des années 2000, Sylvain Chavanel fait naître de grands espoirs, en remportant notamment les Quatre Jours de Dunkerque et le Trophée des Grimpeurs. On croit alors que l'on tient enfin un coureur capable de remporter la Grande Boucle. Malheureusement, Chavanel n'a jamais fait mieux qu'une 19e place au classement général du Tour de France. Au fil des ans, il s'est plutôt affirmé comme un coureur de classiques (vainqueur de La Flèche Brabançonne, A Travers les Flandres, plusieurs places d'honneur sur le Tour des Flandres, Milan-San Remo...) et un redoutable concurrent en contre-la-montre (5 fois champion de France).
© Jean-Marc Foquet - Galerie photo