Larry Sanders, entre basket et marijuana

Larry Sanders © SAM GREENWOOD / AFP

Lorsqu'il s'engage en mars 2017 avec Cleveland, Larry Sanders sort de deux années blanches. Deux ans qu'il aura passés à rapper, dessiner, peindre... mais aussi à déprimer. En avril 2014, il est suspendu pour avoir fumé de la marijuana mais défend le caractère médical de cette drogue.

S'en suit un départ soudain de l'entraînement des Bucks, club dans lequel il ne reviendra jamais. Il passera quelques temps dans un hôpital pour soigner sa dépression et ses troubles de l'humeur. A 28 ans, il vient de démarrer une nouvelle vie dans sa carrière avec Cleveland, même s'il n'a pas disputé les playoffs en avril dernier.

Lorsqu'il s'engage en mars 2017 avec Cleveland, Larry Sanders sort de deux années blanches. Deux ans qu'il aura passés à rapper, dessiner, peindre... mais aussi à déprimer. En avril 2014, il est suspendu pour avoir fumé de la marijuana mais défend le caractère médical de cette drogue. S'en suit un départ soudain de l'entraînement des Bucks, club dans lequel il ne reviendra jamais. Il passera quelques temps dans un hôpital pour soigner sa dépression et ses troubles de l'humeur. A 28 ans, il vient de démarrer une nouvelle vie dans sa carrière avec Cleveland, même s'il n'a pas disputé les playoffs en avril dernier.
© SAM GREENWOOD / AFP