Richard Virenque, le come-back victorieux à Paris-Tours

Richard Virenque a remporté la classique Paris-Tours dès son retour de suspension pour dopage. © FRANCK PREVEL/AP/SIPA

"On m'aurait menti ?", "Si j'ai été dopé, c'est à l'insu de mon plein gré" : à la fin des années 2000, Richard Virenque devient l'une des cibles préférées des Guignols de l'info (Canal +) après la révélation des affaires de dopage au sein de l'équipe Festina. Suite à ses aveux, le coureur est suspendu un an.

Quelques jours après la fin de sa suspension, le 7 octobre 2001, l'heure de la revanche a sonné pour Virenque. Il s'aligne sur la course Paris-Tours et lui, le grimpeur, s'impose dans cette classique habituellement réservée aux sprinteurs. "J'avais tellement la hargne, la rage de vaincre et la revanche en moi que rien ne pouvait m'empêcher de le gagner ce Paris-Tours", déclarera-t-il.

"On m'aurait menti ?", "Si j'ai été dopé, c'est à l'insu de mon plein gré" : à la fin des années 2000, Richard Virenque devient l'une des cibles préférées des Guignols de l'info (Canal +) après la révélation des affaires de dopage au sein de l'équipe Festina. Suite à ses aveux, le coureur est suspendu un an. Quelques jours après la fin de sa suspension, le 7 octobre 2001, l'heure de la revanche a sonné pour Virenque. Il s'aligne sur la course Paris-Tours et lui, le grimpeur, s'impose dans cette classique habituellement réservée aux sprinteurs. "J'avais tellement la hargne, la rage de vaincre et la revanche en moi que rien ne pouvait m'empêcher de le gagner ce Paris-Tours", déclarera-t-il.
© FRANCK PREVEL/AP/SIPA