Jo-Wilfried Tsonga et le daltonisme

Jo-Wilfried Tsonga. © Petr David Josek/AP/SIPA
Quelques jours après sa défaite en demi-finale de Roland Garros, en juin 2016, face à l'Espagnol David Ferrer, Jo-Wilfried Tsonga revient sur cette désillusion dans les colonnes de L'Equipe en tenat de trouver des explications. "Je suis arrivé sur un court à moitié vide et il y avait pas mal de vent, explique-t-il. Puis il y avait aussi l'ombre et le soleil que j'ai beaucoup de mal à gérer parce que je suis daltonien (…).

Une justification balayée quelques jours plus tard par l’ophtalmologiste Thierry Burtin interrogé par Le Figaro : "En pratique, le daltonisme ne gêne pas. Pour que cela gêne, il faudrait que la balle soit de la couleur ou dans les teintes des couleurs qui sont confondues par le daltonien. Il faudrait par exemple que la balle soit verte sur une terre battue rouge pour qu'il y ait éventuellement une confusion"...
Quelques jours après sa défaite en demi-finale de Roland Garros, en juin 2016, face à l'Espagnol David Ferrer, Jo-Wilfried Tsonga revient sur cette désillusion dans les colonnes de L'Equipe en tenat de trouver des explications. "Je suis arrivé sur un court à moitié vide et il y avait pas mal de vent, explique-t-il. Puis il y avait aussi l'ombre et le soleil que j'ai beaucoup de mal à gérer parce que je suis daltonien (…). Une justification balayée quelques jours plus tard par l’ophtalmologiste Thierry Burtin interrogé par Le Figaro : "En pratique, le daltonisme ne gêne pas. Pour que cela gêne, il faudrait que la balle soit de la couleur ou dans les teintes des couleurs qui sont confondues par le daltonien. Il faudrait par exemple que la balle soit verte sur une terre battue rouge pour qu'il y ait éventuellement une confusion"...
© Petr David Josek/AP/SIPA