Marion Bartoli et le court en pente

Marion Bartoli. © Osama Faisal/AP/SIPA
En janvier 2013, quelques mois avant de triompher à Wimbledon, Marion Bartoli est abattue après sa défaite face Ekaterina Makarova (6-7, 6-3, 6-4). Après le match, la Française a du mal à trouver des explications à ce revers et, selon L'Equipe, elle parle même dans un premier temps de la trop forte inclinaison du Margaret Court pour justifier sa contre-performance.

Quelques minutes plus tard, elle poussera l'analyse un peu plus loin : "Physiquement, ça allait mais je n'arrivais pas mentalement à croire en moi et à y aller (...) Le match m'a échappé des mains à partir du moment où je mène 3-2 dans le deuxième. Je ne sais pas pourquoi. C'est frustrant. Encaisser neuf jeux d'affilée contre une fille moins bien classée que moi, et ce sans réagir, ce n'est pas acceptable".
En janvier 2013, quelques mois avant de triompher à Wimbledon, Marion Bartoli est abattue après sa défaite face Ekaterina Makarova (6-7, 6-3, 6-4). Après le match, la Française a du mal à trouver des explications à ce revers et, selon L'Equipe, elle parle même dans un premier temps de la trop forte inclinaison du Margaret Court pour justifier sa contre-performance. Quelques minutes plus tard, elle poussera l'analyse un peu plus loin : "Physiquement, ça allait mais je n'arrivais pas mentalement à croire en moi et à y aller (...) Le match m'a échappé des mains à partir du moment où je mène 3-2 dans le deuxième. Je ne sais pas pourquoi. C'est frustrant. Encaisser neuf jeux d'affilée contre une fille moins bien classée que moi, et ce sans réagir, ce n'est pas acceptable".
© Osama Faisal/AP/SIPA