Un peu d'écologie en Bosnie

Le pont de Mostar symbole du passé de la Bosnie, mais aussi de son ouverture et de sa recontruction. © Eric THIBERVILLE

Forêt primaire et tourisme équitable

Difficile de ne pas associer la Bosnie à la guerre, et pourtant elle fait partie de ces pays des Balkans (Croatie, Monténégro, Slovénie) qui s'ouvrent depuis quelques années aux voyageurs.

Une vaste forêt primaire, des plateaux où galopent des chevaux sauvages, le mont Velez et ses 1 958 mètres mais aussi le lac artificiel de Visegrad (idéal pour la pratique des sports nautiques), des stations de ski et bien sûr la fameuse ville de Mostar et son pont détruit, reconstruit et classé au Patrimoine Mondial de l'Unesco convainquent davantage de voyageurs chaque année.

Au programme : essentiellement de l'éco-tourisme et du tourisme équitable, des infrastructures de petites tailles où la notion de rencontre et la dimension humaine priment sur le reste.

 En images : Le pont de Mostar

Forêt primaire et tourisme équitable Difficile de ne pas associer la Bosnie à la guerre, et pourtant elle fait partie de ces pays des Balkans (Croatie, Monténégro, Slovénie) qui s'ouvrent depuis quelques années aux voyageurs. Une vaste forêt primaire, des plateaux où galopent des chevaux sauvages, le mont Velez et ses 1 958 mètres mais aussi le lac artificiel de Visegrad (idéal pour la pratique des sports nautiques), des stations de ski et bien sûr la fameuse ville de Mostar et son pont détruit, reconstruit et classé au Patrimoine Mondial de l'Unesco convainquent davantage de voyageurs chaque année. Au programme : essentiellement de l'éco-tourisme et du tourisme équitable, des infrastructures de petites tailles où la notion de rencontre et la dimension humaine priment sur le reste.  En images : Le pont de Mostar
© Eric THIBERVILLE