Des actes sans consentement et humiliants

La parole des actrices n'est souvent pas écoutée © 123rf
C'est le dénominateur commun de la plupart des témoignages recueillis par la justice et par les journalistes, sur les affaires Jacquie et Michel et French Bukkake : les cas de pénétration non désirées, de situations violentes et humiliantes, imposées, sont décrits par les victimes présumées. Le Monde relaie le témoignage de Jessica (son nom a été modifié), qui aurait été contrainte à des scènes "dans lesquelles la sodomie et le nombre de partenaires sont forcés". Elle dit avoir été conditionnée pour être une membre active du réseau Jacquie et Michel, pour des événements promotionnels dans les boîtes de nuit. "Lorsque nous allions dans ces établissements, nous étions des objets. Je touchais 300 euros par soirée et, à chaque soirée, le patron de l'établissement avait le droit à sa fellation, c'était compris dans le prix, c'était humiliant", dit-elle.
C'est le dénominateur commun de la plupart des témoignages recueillis par la justice et par les journalistes, sur les affaires Jacquie et Michel et French Bukkake : les cas de pénétration non désirées, de situations violentes et humiliantes, imposées, sont décrits par les victimes présumées. Le Monde relaie le témoignage de Jessica (son nom a été modifié), qui aurait été contrainte à des scènes "dans lesquelles la sodomie et le nombre de partenaires sont forcés". Elle dit avoir été conditionnée pour être une membre active du réseau Jacquie et Michel, pour des événements promotionnels dans les boîtes de nuit. "Lorsque nous allions dans ces établissements, nous étions des objets. Je touchais 300 euros par soirée et, à chaque soirée, le patron de l'établissement avait le droit à sa fellation, c'était compris dans le prix, c'était humiliant", dit-elle.
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