L’EPR de Penly : vraiment disparu des radars ?

Le site électronucléaire de Penly, en Haute-Normandie © brimeux - Fotolia
Son destin dépend du réacteur EPR de Flamanville. En 2009, le président Nicolas Sarkozy a annoncé la mise en place d’un deuxième Réacteur pressurisé européen (EPR) développé par Areva, après celui de la Manche. Celui-ci doit trouver place dans la centrale nucléaire - déjà en fonction - de Penly, en Seine-Maritime. Mais l’alternance de 2012 a refroidi bien des ardeurs et redonné le sourire aux écologistes. Delphine Batho puis Arnaud Montebourg avaient enterré le projet, notamment en raison de la flambée des coûts (multipliés par trois) et des retards (plus de deux ans) à Flamanville. Mais le sujet serait "revenu sur la table" selon le journal Les Echos, en 2014, en raison du vieillissement du parc nucléaire tricolore. Mais la distance entre "la table" et la réalisation pourrait se chiffrer en décennies.
Son destin dépend du réacteur EPR de Flamanville. En 2009, le président Nicolas Sarkozy a annoncé la mise en place d’un deuxième Réacteur pressurisé européen (EPR) développé par Areva, après celui de la Manche. Celui-ci doit trouver place dans la centrale nucléaire - déjà en fonction - de Penly, en Seine-Maritime. Mais l’alternance de 2012 a refroidi bien des ardeurs et redonné le sourire aux écologistes. Delphine Batho puis Arnaud Montebourg avaient enterré le projet, notamment en raison de la flambée des coûts (multipliés par trois) et des retards (plus de deux ans) à Flamanville. Mais le sujet serait "revenu sur la table" selon le journal Les Echos, en 2014, en raison du vieillissement du parc nucléaire tricolore. Mais la distance entre "la table" et la réalisation pourrait se chiffrer en décennies.
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