Les égouts, les trottoirs, le numérotage des maisons parisiennes

Des kilomètres d'égouts sous Paris © Timur Abramov / 123RF
Napoléon souhaite libérer la capitale de ses odeurs nauséabondes dues à l'évacuation des eaux usées à même les routes. Il décide de construire dix kilomètres d'égouts, aérant ainsi Paris. Il crée également les premiers trottoirs et caniveaux, qui viennent remplacer les ruisseaux stagnants.

Une autre réforme très importante voit le jour à Paris, le 4 février 1805. Celle du numérotage des maisons. Napoléon Bonaparte adopte le système pair-impair établi par rapport au fleuve : il commence au bout de la rue le plus proche de la Seine (dans le sens du courant, pour les rues parallèles au fleuve), avec les numéros impairs à gauche et les numéros pairs à droite. Ce système est introduit dans toute la ville, servant d'exemple en Europe.
Napoléon souhaite libérer la capitale de ses odeurs nauséabondes dues à l'évacuation des eaux usées à même les routes. Il décide de construire dix kilomètres d'égouts, aérant ainsi Paris. Il crée également les premiers trottoirs et caniveaux, qui viennent remplacer les ruisseaux stagnants. Une autre réforme très importante voit le jour à Paris, le 4 février 1805. Celle du numérotage des maisons. Napoléon Bonaparte adopte le système pair-impair établi par rapport au fleuve : il commence au bout de la rue le plus proche de la Seine (dans le sens du courant, pour les rues parallèles au fleuve), avec les numéros impairs à gauche et les numéros pairs à droite. Ce système est introduit dans toute la ville, servant d'exemple en Europe.
© Timur Abramov / 123RF