Dictateur et... compositeur d'opéras

Kim Jong-Il compositeur d'opéras. © Kremlin.ru

L'anecdote remonte à une visite officielle à Pékin en mai 2010. Kim Jong-Il avait alors amené dans ses bagages un opéra de sa propre composition. En réalité une adaptation en coréen du "Rêve dans le pavillon rouge", un classique romantique chinois du XVIIIe siècle. Un an plus tôt, il avait aussi piloté la production d'un autre opéra pour le 10e anniversaire de la coopération entre la Corée du Nord et la Russie. Kim Jong-Il a en effet joué pendant son règne les compositeurs. Tout en contrôlant toute forme de création artistique, il a été l'auteur d'opéras, généralement écrits à la gloire de la réunification coréenne, des bienfaits du socialisme ou encore de la loyauté au chef. Le "Cher dirigeant" avait pour habitude de les programmer dans différents théâtre de Pyongyang. Le plus renommé, intitulé "Mer de Sang", lui a valu le titre de "Cher artiste bien aimé".

L'anecdote remonte à une visite officielle à Pékin en mai 2010. Kim Jong-Il avait alors amené dans ses bagages un opéra de sa propre composition. En réalité une adaptation en coréen du "Rêve dans le pavillon rouge", un classique romantique chinois du XVIIIe siècle. Un an plus tôt, il avait aussi piloté la production d'un autre opéra pour le 10e anniversaire de la coopération entre la Corée du Nord et la Russie. Kim Jong-Il a en effet joué pendant son règne les compositeurs. Tout en contrôlant toute forme de création artistique, il a été l'auteur d'opéras, généralement écrits à la gloire de la réunification coréenne, des bienfaits du socialisme ou encore de la loyauté au chef. Le "Cher dirigeant" avait pour habitude de les programmer dans différents théâtre de Pyongyang. Le plus renommé, intitulé "Mer de Sang", lui a valu le titre de "Cher artiste bien aimé".
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