19 janvier 2012 - i-Télé Le duel Marine Le Pen-Jean-Luc Mélenchon a été l'un des grands affrontements de cette campagne et a duré plusieurs semaines. Et il a, comme beaucoup d'autres duels, dérivé vers l'infantilisation. En réponse à la "semi-démente" que lui avait envoyé le candidat du Front de gauche", la candidate du FN répondra que Jean-Luc Mélenchon était, hors caméra, un homme "charmant", "presque un petit garçon". "Il perd ses nerfs, je comprends ! C'est quand même pitié de voir quelqu'un qui se présente comme étant le défenseur des ouvriers n'attirer" que 2 % de leurs intentions de vote, poursuivra la présidente du Front national.
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