Claude Guéant : un nouveau "porte-parole" ?

Claude Guéant © Marco Pirrone

En plus de ces fonctions de secrétaire général de l'Elysée qu'il devrait conserver, Claude Guéant hérite d'une partie de la fonction de porte-parole, occupée avant les municipales par David Martinon. C'est lui qui sera la voix de la présidence sur les sujets de politique nationale après ce remaniement.

Fidèle de Nicolas Sarkozy

A 63 ans, Claude Guéant figure sans doute parmi les plus proches fidèles de Nicolas Sarkozy. Amis de longue date, (les deux hommes se sont rencontrés dans les Hauts-de-Seine en 1987), il a été directeur général de la Police nationale avant de devenir chef de cabinet du ministère de l'Intérieur de 2002 à 2007. Grand organisateur de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, il a été nommé dès l'élection de ce dernier secrétaire général de l'Elysée en mai dernier. C'est lui qui est monté en première ligne lors des dernières crises (divorce, mariage, Shoah, sectes...) et il a été le premier à préciser les contours du remaniement ministériel au mois de février.

En plus de ces fonctions de secrétaire général de l'Elysée qu'il devrait conserver, Claude Guéant hérite d'une partie de la fonction de porte-parole, occupée avant les municipales par David Martinon. C'est lui qui sera la voix de la présidence sur les sujets de politique nationale après ce remaniement. Fidèle de Nicolas Sarkozy A 63 ans, Claude Guéant figure sans doute parmi les plus proches fidèles de Nicolas Sarkozy. Amis de longue date, (les deux hommes se sont rencontrés dans les Hauts-de-Seine en 1987), il a été directeur général de la Police nationale avant de devenir chef de cabinet du ministère de l'Intérieur de 2002 à 2007. Grand organisateur de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, il a été nommé dès l'élection de ce dernier secrétaire général de l'Elysée en mai dernier. C'est lui qui est monté en première ligne lors des dernières crises (divorce, mariage, Shoah, sectes...) et il a été le premier à préciser les contours du remaniement ministériel au mois de février.
© Marco Pirrone
Benoit DESHAYES et Stéphane MALPHETTES