Bertrand-Copé

Jean-François Copé et Xavier Bertrand © Montage L'Internaute

L'histoire de Xavier Bertrand et de Jean-François Copé, c'est l'histoire du "chouchou" et du "cancre". Excellent élève, le premier se pose dès 2007 en héritier du sarkozysme quand l'autre, allègrement critiqué par le clan adverse, voire par le Nicolas Sarkozy lui même, a préfèré tracer sa propre route. Mais tous les deux veulent la même chose : se faire élire en 2017 à l'Elysée. D'interviews en meetings, de déjeuners en réunions à l'UMP, les "piques" n'ont jamais manqué entre les deux hommes.

Mais la tension s'est faite plus lourde quand Xavier Bertrand a été nommé à la tête de l'UMP en 2009 et 2010 et a fait son retour à l'Assemblée. Un retour que d'aucuns qualifient de "mise sous tutelle" des députés UMP, dirigés alors par Jean-François Copé. Les frondes successives desdits députés n'auront pas aidé à apaiser les tensions jusqu'à ce que Copé prenne à son tour les rênes du parti. Et elles n'ont pas fini : après avoir conclu un pacte avec Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle de 2012, Copé a été privé du soutien de Bertrand lors de son duel avec François Fillon.

L'histoire de Xavier Bertrand et de Jean-François Copé, c'est l'histoire du "chouchou" et du "cancre". Excellent élève, le premier se pose dès 2007 en héritier du sarkozysme quand l'autre, allègrement critiqué par le clan adverse, voire par le Nicolas Sarkozy lui même, a préfèré tracer sa propre route. Mais tous les deux veulent la même chose : se faire élire en 2017 à l'Elysée. D'interviews en meetings, de déjeuners en réunions à l'UMP, les "piques" n'ont jamais manqué entre les deux hommes. Mais la tension s'est faite plus lourde quand Xavier Bertrand a été nommé à la tête de l'UMP en 2009 et 2010 et a fait son retour à l'Assemblée. Un retour que d'aucuns qualifient de "mise sous tutelle" des députés UMP, dirigés alors par Jean-François Copé. Les frondes successives desdits députés n'auront pas aidé à apaiser les tensions jusqu'à ce que Copé prenne à son tour les rênes du parti. Et elles n'ont pas fini : après avoir conclu un pacte avec Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle de 2012, Copé a été privé du soutien de Bertrand lors de son duel avec François Fillon.
© Montage L'Internaute