Alain Marleix : élu

Alain Marleix, tête de liste en Auvergne © Parlement européen

La tête de liste UMP dans la région Auvergne et dans le département du Cantal, a été battu mais élu. Sa liste a remporté 40,32 % des voix soit 14 sièges au conseil régional.

Le contexte avant le scrutin (04/02/2010)

En grand expert de la carte électorale à l'UMP, Alain Marleix est plutôt un habitué des coulisses des élections. Mais il fallait un candidat de poids en Auvergne pour remplacer au pied levé Brice Hortefeux qui a préféré conserver son portefeuille ministériel à l'Intérieur, place Beauvau. Marleix représentera donc la liste de la majorité présidentielle non-seulement dans le Cantal, mais aussi dans la région.

L'Auvergne aura été, en 2004, le lieu de l'humiliation de Valéry Giscard d'Estaing, battu dans son fief par le socialiste Joël Bonte (52,67 % contre 47,33 %) sans pourtant avoir eu à subir une triangulaire face au Front national. Mais avec l'émergence des Verts aux européennes (13,44 %), le PS ne sera peut être pas en position de force pour obtenir le même report de voix qu'en 2004. Autre signe positif pour Alain Marleix : le candidat de l'UMP aux européennes en Auvergne, Jean-Pierre Audy, l'avait emporté avec 28,33 % des voix le 6 juin 2009.

La tête de liste UMP dans la région Auvergne et dans le département du Cantal, a été battu mais élu. Sa liste a remporté 40,32 % des voix soit 14 sièges au conseil régional.Le contexte avant le scrutin (04/02/2010) En grand expert de la carte électorale à l'UMP, Alain Marleix est plutôt un habitué des coulisses des élections. Mais il fallait un candidat de poids en Auvergne pour remplacer au pied levé Brice Hortefeux qui a préféré conserver son portefeuille ministériel à l'Intérieur, place Beauvau. Marleix représentera donc la liste de la majorité présidentielle non-seulement dans le Cantal, mais aussi dans la région. L'Auvergne aura été, en 2004, le lieu de l'humiliation de Valéry Giscard d'Estaing, battu dans son fief par le socialiste Joël Bonte (52,67 % contre 47,33 %) sans pourtant avoir eu à subir une triangulaire face au Front national. Mais avec l'émergence des Verts aux européennes (13,44 %), le PS ne sera peut être pas en position de force pour obtenir le même report de voix qu'en 2004. Autre signe positif pour Alain Marleix : le candidat de l'UMP aux européennes en Auvergne, Jean-Pierre Audy, l'avait emporté avec 28,33 % des voix le 6 juin 2009.
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