Les mots de Jean-François Copé

Jean-François Copé © Benoît Deshayes/L'Internaute

Jean-François Copé est celui qui possède le vocabulaire le moins large avec seulement 28,01 % de richesse (soit 71,99 répétitions sur 100 mots prononcés). Le "Je" et le "Faut" caractérisent le mieux le registre de celui qui se voit ouvertement candidat à l'Elysée en 2017. Le patron de l'UMP se pose, comme bien d'autres, en représentant des "Français". Son langage est ensuite conforme à celui qu'on peut attendre d'un ponte de l'Assemblée avec, au Top, "Débat", "Réforme", "Loi" ou les thématiques du "Travail", de la "Croissance" ou encore de la "Sécurité".

Les mots qui font la différence :

Ancien porte-parole du gouvernement et ancien ministre du Budget, Jean-François Copé utilise 4,6 fois plus le mot "Impôts" que ses confrères. Un mot qui rappelle que dans le gouvernement Villepin, il fut l'instigateur du premier bouclier fiscal (60 % à l'époque). Très représentatif du clivage gauche-droite à l'Assemblée depuis 2007, il utilise aussi près de 4 fois plus le mot "Opposition".

Jean-François Copé est celui qui possède le vocabulaire le moins large avec seulement 28,01 % de richesse (soit 71,99 répétitions sur 100 mots prononcés). Le "Je" et le "Faut" caractérisent le mieux le registre de celui qui se voit ouvertement candidat à l'Elysée en 2017. Le patron de l'UMP se pose, comme bien d'autres, en représentant des "Français". Son langage est ensuite conforme à celui qu'on peut attendre d'un ponte de l'Assemblée avec, au Top, "Débat", "Réforme", "Loi" ou les thématiques du "Travail", de la "Croissance" ou encore de la "Sécurité". Les mots qui font la différence : Ancien porte-parole du gouvernement et ancien ministre du Budget, Jean-François Copé utilise 4,6 fois plus le mot "Impôts" que ses confrères. Un mot qui rappelle que dans le gouvernement Villepin, il fut l'instigateur du premier bouclier fiscal (60 % à l'époque). Très représentatif du clivage gauche-droite à l'Assemblée depuis 2007, il utilise aussi près de 4 fois plus le mot "Opposition".
© Benoît Deshayes/L'Internaute