Sur l'argent

Le 11 décembre 1969, dans une discussion avec André Malraux, cité dans "Les chênes qu'on abat" (Gallimard). Des mots dont semble s'être inspiré l'actuel chef de l'État. © AFP
Cette phrase du général rappelle étonnamment le "Mon véritable adversaire, c'est la finance" du candidat François Hollande. L'actuel chef de l'Etat le déclarait en effet à l'envi en 2012, se prononçant en parallèle pour la création d'une taxe spéciale sur les transactions financières ainsi que d'une agence publique de notation.
  • Quelle vision appliquait de Gaulle ? Sur le site de l’Union gaulliste de France (UGF), un article rappelle que "le général de Gaulle a souligné les défauts du système monétaire international et s’est efforcé de le faire évoluer dans le sens d’une plus grande équité entre les nations. Lorsqu'il était Président de la République, le général de Gaulle payait lui-même les factures d'électricité de ses appartements à l'Élysée, ses frais de téléphone personnel, et même les timbres de ses courriers."
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