Elle traverse une période de tourmente

© Nicolo REVELLI BEAUMONT / SIPA
Alors qu'Anne Hidalgo se montrait inflexible sur la piétonisation des voies sur berges, le tribunal administratif de Paris a annulé mercredi 21 février 2018 l'interdiction de circulation automobile au niveau des voies sur berge sur la rive droite de la Seine. Un vrai coup dur pour la maire. Le tribunal pointe "des inexactitudes, des omissions et des insuffisances concernant les effets du projet" dans l'étude d'impact. Et rend caduque la délibération du Conseil de Paris du 26 septembre 2016 "déclarant l'intérêt général de l'opération d'aménagement des berges de la rive droite de la Seine". Anne Hidalgo a déjà annoncé qu'elle ferait appel. Ces derniers mois, la maire de Paris a subi une série de revers avec le fiasco du nouveau Vélib' (pépins techniques et retards à répétition), la prolifération de rats résistants aux raticides dans certains quartiers ou encore la récente polémique sur la sépulture de l'écrivain Michel Déon.
Alors qu'Anne Hidalgo se montrait inflexible sur la piétonisation des voies sur berges, le tribunal administratif de Paris a annulé mercredi 21 février 2018 l'interdiction de circulation automobile au niveau des voies sur berge sur la rive droite de la Seine. Un vrai coup dur pour la maire. Le tribunal pointe "des inexactitudes, des omissions et des insuffisances concernant les effets du projet" dans l'étude d'impact. Et rend caduque la délibération du Conseil de Paris du 26 septembre 2016 "déclarant l'intérêt général de l'opération d'aménagement des berges de la rive droite de la Seine". Anne Hidalgo a déjà annoncé qu'elle ferait appel. Ces derniers mois, la maire de Paris a subi une série de revers avec le fiasco du nouveau Vélib' (pépins techniques et retards à répétition), la prolifération de rats résistants aux raticides dans certains quartiers ou encore la récente polémique sur la sépulture de l'écrivain Michel Déon.
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