Le rôle de Jean-Marie Le Pen dans les interrogatoires spéciaux

Jean-Marie Le Pen chez lui à Rueil malmaison, en 2018. © ERIC DESSONS / JDD / SIPA
L'ancien combattant a nié toute participation personnelle à la torture pendant la guerre d'Algérie, estimant les accusations à son encontre "bidon". Il a toutefois déclaré sur RTL en février 2018 qu'il aurait "sans doute" torturé en Algérie si on le lui avait demandé.

"[Ni] moi, [ni] mes camarades n'étions nullement chargés des interrogatoires spéciaux. (...) C'est du bidon, (...) évidemment [du] bidon, qui ne résiste pas à la plus rapide analyse (...) J'ai ainsi été accusé de la même scène de torture le même jour, à la même heure, à plus de 100 km de distance. C'est horrible, l'ubiquité de la bête immonde !".
L'ancien combattant a nié toute participation personnelle à la torture pendant la guerre d'Algérie, estimant les accusations à son encontre "bidon". Il a toutefois déclaré sur RTL en février 2018 qu'il aurait "sans doute" torturé en Algérie si on le lui avait demandé. "[Ni] moi, [ni] mes camarades n'étions nullement chargés des interrogatoires spéciaux. (...) C'est du bidon, (...) évidemment [du] bidon, qui ne résiste pas à la plus rapide analyse (...) J'ai ainsi été accusé de la même scène de torture le même jour, à la même heure, à plus de 100 km de distance. C'est horrible, l'ubiquité de la bête immonde !".
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